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dimanche 15 mai 2016

9 juillet 2013 - Holiday jam

Il ne se passe tellement rien dans ce paysage intellectuel FR que le moindre billet un tout petit peu pertinent peut se retrouver vite sous le feu des projecteurs ou plutôt sous le halo des bougies, par défaut. L’autre jour j’avais la surprise d’entendre un très éminent bonhomme sur une radio dire que son blog préféré était celui-ci. Je parie que certains gros porcs à tête de porc viennent aussi par là avec « ces yeux qui épient ». Il n’y a plus « Subversiv », Costes est muet, les gars de Cancer! et Tsim-Tsoum idem, Surlering calme plat bref y a plus tchi du tout c’est simple. Comme on se fait chier c’est pas Dieu possible. Moi je rêvais de cent Edouard Baer pour remplacer un seul Jacques François mort, lui même légion pour remplacer un Léon Daudet ou Edmond Rostand. On se fait CHIER quoi à moins d’être assez épais pour trouver bonne la merde mainstream. Fins esprits où êtes-vous? Allez y a bien comme ça des Luchini, Gaspard Noé vite fait qui font plaisir une fois tous les dix ans. Mais pas de quoi renvoyer les cloportes d’ESC à ce qu’ils sont et propager cette impulsion d’esprit impétueux, fort, qui danse en équilibre, ce truc insaisissable.

Quand ma grand-mère Jeanne est morte il a fallu prendre le train pour Paris. Décès + Paris c’était une combinaison de choses très énervantes. Trajet donc passé à boire des bières et à faire chier le monde et notamment un genre de fonctionnaire moisi à qui je voulais particulièrement faire comprendre cétékilboss et lui racketter son fric. Souvenirs alcoolisés embrouillés cependant à la gare j’ai le souvenir d’un pédé arabe jeune alpagué de force : « mec tu connais CITEBEUR dis? ». D’abord il a nié, à la troisième fois il a avoué, oui il connaissait. Ah l’infâme. Et puis il a barré de trouille dans les escaliers parce que j’étais bien taré je crois. J’ai coursé le fonctionnaire jusque dehors la gare, jusqu’à un arrêt de bus. Il faisait nuit, tous les éclairages me semblaient multicolores pleins d’appels palpitants et de promesses comme quand j’avais 17 ans. Le type il faisait le bonhomme quand même il faut reconnaître, parfois il se retournait excédé il essayait un coup de pied dans le tibia. Son bus est arrivé à la volée, de mon souvenir il est monté sans payer dedans en marche comme les GI’s au Vietnam dans les hélicoptères comme ça d’un saut et la porte automatique s’est refermé sur mes tambourinages, le moteur a vrombit la machine a pris de la vitesse, impossible de la rattraper bientôt j’étais plus qu’au niveau de la porte arrière j’ai balancé la canette de Jupiler dans la vitre. Suis retourné dans la gare mais y avait plus rien à gratter. Le lendemain à l’office une hystérique mariée à escrochu a dit au micro que Jeanne, « femme de gauche » était ceci et puis cela, enfin n’importe quoi.

Ferme ta gueule sale grosse putain

Bouche pincée tu ne sais pas tu ne randonnes pas à pied comme moi sur un faux-plat tu n’as pas reçu en cheval de troie dans le sang la haine raciste à mort de ce monde contre le gène blanc répandu dans le monde non-blanc et son amour éperdu pour le gène non-blanc répandu dans le monde blanc. Viré de tous les jobs et de tous les pays, jamais aucun avocat aucun défenseur toi aussi tu deviendrais fou. Tu te mettrais à crier tu perdrais toute ta bouche pincée tu retournerais tous les bouquins tous les fourrés tous les arrières-magasins pour trouver la solution. Tu aurais comme perdu la peau, les muqueuses à vif et hurlement au moindre frôlement, tu serais comme ces chevreuils pris dans la glace qui ne comprennent pas que le pompier vient pour les sauver et qui essaient de l’encorner, tu ferais du mal à ceux qui te veulent du bien tu répondrais à dessein à la minauderie par la haine comme les tarés qui ne veulent pas qu’on les touche.

J’aurai ces fils de putes à l’usure

Une mignonne à la gare d’Austerlitz, regard une fois deux fois trois fois, quatre secondes droits dans les yeux c’est elle qui les baisse la première et rien moyen de faire trop de nerfs trop de nerfs c’est une malédiction. On a barré par le parking taxis. Cette fois encore il n’y aurait rien. Déjà 16h. Encore quelques minutes et l’on rentrerait sans avoir touché cette vie mille fois promise et tous ces mondes qu’on n’auraient pas pu découvrir iraient un chemin qu’on ne connaîtrait jamais.

For fuckk sake

Les genres merdeux d’ESC. Ils ont des joies, ne savent pas les goûter, caviar aux cochons. Leur vocabulaire correspond bien à leur sensibilité grossière. En vrai ils ont peur ils savent qu’ils sont des nuls et des lâches et demeurent secrètement interloqués de chacun de leurs succès. Ils sont comme les Hongkongais en voyage d’affaire à qui l’on fait glouglouter du Nuits-Saint-Georges dans les restaurants. N’est pas qu’il a un bon goût de vin ce vin?

Mieux vaut être camelot du Roy que voyou de la Gueuse gros

Alcool = poison. Fille jolie sans foulard = occasion de guerre. Les faits divers et l’expérience de rue valident le projet taliban afghan. C’est moi qui aie raison c’est pas toi.

J’aurais voulu avoir un grand frère, un premier de cordée qui défriche le passage qui prenne les coups et en rende quelques-uns pour pouvoir me faufiler à sa suite sans trop de dommages ayant retenu la leçon apprise par un autre.

Vulnérabilité du nombre. Immense troupeau bavard où chacun sait extrêmement bien raisonner, développer, accuser le voisin, se justifier mais où chacun a peur. La plus magnifique preuve de cette chose réside dans ces reportages animaliers lorsque les buffles barrent tous comme des cons à la première hyène venue alors qu’ils peuvent l’encorner mille fois.

Monde de métis-fils-de-putes et de Blancs honteux, donc Lounès qui n’est ni l’un ni l’autre est haïssable à la fois par le bled (sale bâtard!), par les immigrés (sale traître!) et par les Blancs anti-blanc (sale facho!). Dans le même temps le même monde produit en série des milliers de Enzo Bendaoud et de Franz-Noah N’diaye unanimement sur-favorisés sur-aimés surprotégés.

Et maintenant monsieur vous allez me remettre l’intégralité du contenu de votre portefeuille.

Donne tes bijoux le drôôôle! (Les Visiteurs)

Comment t’as fait pour en arriver là? Pourtant t’étais au top mec avant. (Jackie Brown)

Ces mots qui sonnent comme des pétards, comme des échappements de rectum en travail. Ecoutez plutôt: « schrameck », « herkowitz », « yiszraahck », ces consonances gutturales, ces borborygmes qui jurent comme des tâches de merde sur la nappe ce sont des avertissements pour tester l’anesthésie du « patient » (!). Des jurons pareils devraient faire sursauter d’horreur la part encore authentiquement vivante de l’être du même nom mais nenni. Ce n’est qu’une fois passé la barre des schramerdovitz qu’ensuite on peut vous donner toute la mesure, toute l’amplitude du coup de rein qui pistonne, lâcher complètement la bride et envoyer du lourd, du puissance mille shrapnell explosif par millions d’immigrés tous plus Ben Bastoufah-Bombala les uns que les autres. Les mignonnes bien soumises lorsque « Pontarlier » nom de jeune fille tourne Sadoune, Merguezaza, Kessoufy comme le lait tourne fromage, les immondes maçons des ministères trois cent fois corrompus, les commentaires dithyrambiques sur l’admirable Abiker l’admirable Fitoussi, sur « ce fameux jeune prodige surdoué qui a inventé une application révolutionnaire », toute la flagornerie ordinaire en forme d’autoroute sur ton jardin peut à l’aise se faire voir en plein jour en pleine lumière sans aucun risque et le pauvre cochon de payant ne comprend même pas.

« Au dessus d’une foule de fils de putes qui ne peuvent rien mon but est atteint »

En Novembre dernier à la manif nationale de la Casapound il y avait tous ces jeunes types issus du peuple et peuple n’était pas un vain mot. Cuistots de pizzerias, interdits bancaires, Ray-Ban Vespa et Stone Island et patriotes jusqu’aux os, des bonhommes. Ah comme on aimerait la même jeunesse pour la France. Les seuls mouvements d’extrême-droite valables sont ceux qui commencent d’abord par loger des familles de souche pauvres c’est ça qu’il faut faire et ça qu’ils ont fait dans plusieurs villes d’Italie. Il y a des pages magnifiques dans Les Beaux Draps sur la famille et les enfants. C’est là que le bavardage peut cesser et l’action commencer, par la charité vécue avec « des papas mamans partout » et des locaux dont on enfonce les portes et change les serrures pour loger les gentils Pontarlier-Véssières-Dutheil-Langlémont. C’est cela qu’on peut faire et on le sait très bien.

Grenoble et tout le sud-est c’est déjà le début de l’Italie et ça se sent ça se voit dans les cadastres, sur les tronches et les toilettes des gens. Notamment sur ces meufs pas trop brunes pas trop châtain à bras imberbes et museaux rassérénés de pectine et bêta-carotène. Visages qui prennent admirablement la lumière.

Gare de Grenoble, Gare de la Part-Dieu, Gare de Termini. Les plus belles meufs du monde je les ai vu dans des gares.

Pauvre daron français si humble si bon si gêné aux entournures dans une société atrocement déboutonnée, ricaneuse, brutale, le tout sous un soleil de plomb sous une crise de plomb mais full of crâneurs et bonasses, Z4 et tablées en terrasse, full of shit.

Si les gauchistes étaient des bonhommes ils brûleraient les écoles de commerce

« Mais comment ça « non »?? Moi y a aucun garçon qui me dit non! » Comme elle était mignonne…

I don’t wanna die but I ain’t keen on living either. Coucher de soleil, vue dégagée, vent dans les arbres. Au feu rouge 2 loufiats de souche dans une Polo avec Robbie Williams Feel poussé fort, ils me miment l’extase acappella, on se regarde, sourires pacifiques. Cause I’ve got to much life running through my veines going to waste. Ils démarrent en trombe.

mardi 18 août 2015

28 JUILLET 2013 - Hallal et casher

Hallal et casher

ACTUMUTATION — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 28 JUILLET 2013 À 21 H 04 MIN 
L’abattage de bétail français par des « sacrificateurs » affiliés à des traditions étrangères et disons-le, arriérées, recèle un sens très fort. Un sens que nous n’avons pas vu faute d’analyser les situations avec autre chose que la raison raisonnante et qui comporte je crois 4 aspects.
 
Un sens caché
Au moins une de ces deux religions professe l’interprétation suivante de la Bible : « Le peuple de Dieu c’est nous et rien que nous et tous les autres ne sont pas des humains mais des animaux. Nous sommes issus d’un peuple qui paissait des troupeaux d’animaux au désert avant de les égorger au temple en sacrifice pour expier nos fautes par transfert de culpabilité. Désormais, avec le processus historique, nous ne paissons plus des troupeaux mais des «nations » que nous avons le droit de soumettre, tromper et éventuellement livrer au massacre si nécessaire. »
Voilà un point de doctrine qu’il faut connaître. Ils appellent ça pudiquement un commentaire. Ainsi leur cruauté envers les animaux ne serait que le masque de leur cruauté envers les « non-eux ».
 
Un sens symbolique
C’est le bétail des autres, pas ton bétail à toi gros huileux buté barbu à pieds plats. Pour élever un seul bœuf ou mouton il a fallu toute la science, tout le labeur, tous les suicides et tous les matins gris du paysan français de Lorraine agoni d’injures et d’indifférence générale. Il a fallu défricher des forêts, planter des clôtures, tatouer les bêtes, les nourrir et les vacciner, les rentrer à l’étable et les panser, il a fallu mille peines et soins chaque jour répétés, un travail dont les sphères géographiques du hallal et du casher sont très incapables (preuve en est ces réalisations locales médiocres voire absentes). Ce travail vaut beaucoup plus que les misérables sept cent euros par carcasse sèche payés à l’éleveur, argent qui n’est même pas le produit du travail créateur et du mérite mais l’argent des impôts des honnêtes gens (gens affiliés ni au hallal ni au casher).
L’éleveur construit, le crasseux barbu brouillon détruit. Et paie avec un argent qui n’est pas le sien. Labeur et soins quotidiens pendant années contre égorgement et agonie de 15 minutes. « Elever » contre « abattre ». Quel plus parlant symbole faut-il d’autre pour réveiller en soi le sens de la justice et de l’équité ?
 
Un sens imagé
Le progrès technique permet d’étourdir par électrocution  l’animal pour qu’il ne souffre ni ne se débatte lors de la saignée. Les pensées arriérées s’y refusent en se justifiant par 2 mensonges :

-          « Il faut que l’animal crée par Dieu pour nous soit en pleine conscience et santé au moment de l’abattage et que l’on rende grâce par une formule orale ». Faux. On rend les grâces avant de manger pas avant de tuer voilà la vraie Justice au sens religieux du terme. Associer systématiquement Dieu créateur à la mort et au sang d’autrui, même d’animaux, a quelque chose de profondément antinomique et malsain.

-          « Il y a un nerf magique sous la jugulaire qui, sectionné avec l’artère, anesthésie toute souffrance chez l’animal ». Ah tiens. Alors pourquoi l’animal se débat-il et respire-t-il encore jusqu’à 15 minutes après ?
Ainsi on se sanctifierait par la « pureté » des nourritures qui entrent dans la bouche ? Le bon sens enseigne exactement le contraire : on se sépare véritablement du bas monde corrupteur en gardant pur ce qui sort de la bouche à savoir les paroles qui ne sont que le produit des pensées intimes. Voilà la vraie gageure en matière de sainteté. Car combien de prétendus impeccables dévots* s’enorgueillissent de manger hallal-casher mais tiennent un langage ordurier, regardent le cul des filles qui passent et se laissent aller à tous les péchés (paresse, envie, jalousie etc…). Quel exemple, quelle crédibilité donnent-ils ?
Dernier élément révélateur de la crispation sur l’abattage à la barbare : est-ce bien là un point si capital de « bien égorger » ? Est-ce là toute la contribution très primordiale que l’on souhaite propager? N’y a-t-il pas d’autres propositions plus positives à émettre pour améliorer sa vie et celle de ses enfants ? D’autres domaines dans lesquels montrer une exemplarité morale ?
Derrière tout ce cinéma il y a surtout la jouissance sadique de donner la mort légalement, de s’arroger une dérogation spéciale à la violence et au sang, de répandre une sorte d’avertissement spectaculaire dans la société, une volonté de siéger et de régner sur du bétail sans défense bref derrière tout ce cinéma on trouve ce qu’il y a de plus bas et de lâche en l’homme.
 
Un sens littéral
La proportion d’abattoirs hallal et casher rapportée aux abattoirs traditionnels est tellement écrasante que les chiffres sont cachés au grand public.
Il n’y a pas « le » hallal et « le » casher il y a des dizaines et dizaines d’abattoirs hallal et casher alors que cela ne correspond à aucun besoin, à aucune tradition française et à aucun signe de la plus élémentaire gratitude envers un pays d’accueil généreux et nourricier.
Sur ce sujet comme sur tant d’autres (le niveau des impôts par exemple) il y a simplement trop.
 
 
* La photo a vocation à illustrer la notion de fausse dévotion. Ce personnage n’est autre que le français converti qui a tenté d’étrangler un policier qui contrôlait sa femme intégralement voilée à Trappes et qui a provoqué plusieurs jours d’émeutes (aucun mort par miracle une fois encore). Stupéfiante capacité mimétique du type qui a pris non seulement les vêtement mais aussi l’apparence physique et le même genre de regard haineux que ceux à qui il veut ressembler. Tout dans les signes extérieurs visibles: vêtements, bavardage, scandales en public etc…

28 SEPTEMBRE 2013 - Grenoble Villeneuve

Grenoble Villeneuve

ACTUSOZIAL — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 28 SEPTEMBRE 2013 À 22 H 02 MIN 
Il y a un petit scandale en ce moment à propos d’un reportage d’Envoyé Spécial qui aurait osé montrer le quartier de la Villeneuve sous un mauvais jour. Pour rappel la Villeneuve est l’un des pires quartiers de racailles de tout le Rhône-Alpes.

Michel Destot le maire socialiste en place depuis plus de 10 ans et son adjoint intitulé Jérôme Safar ne sont pas contents du tout de la tonalité du reportage. Ils reprochent à Envoyé Spécial d’avoir « mal parlé par rapport sur les frères ». Ce ne sont pas leurs propos exacts mais c’est l’esprit de leurs récriminations.
Grenoble je connais bien. Destot je connais je l’ai vu de très près, lui ai parlé plusieurs fois. Déjà je peux dire qu’il a une haleine pénible comme 20 bacs de compost. C’est pas Dieu possible de casser autant du bec surtout à un échelon aussi élevé. Le tutoiement vestimentaire s’étendrait-il au buccal? Faudrait-il en déduire un diagnostic primaire du style « de toute façon un gauchiste c’est crade ça pue »? Ce serait faire injure à l’injonction de complexité du réel. Certains gauchistes puent MAIS PAS TOUS.
Sous son mandat la ville de Grenoble qui dans les années 90 était déjà en pointe pour le niveau de violence de ses racailles (dans les années 90 il n’y avait guère de racailles encore qu’à Marseille, Toulouse, Lyon, Grenoble et la région parisienne. Et puis tout est allé si vite c’est fou…) a pris la tendance « Rio » que Vertume avait décrit dans un très bon article: gentrification des quartiers moyens et racaillisation des quartiers à problèmes.
Le dénommé Nabil qui apparaît au début du reportage est ce Nabil ci.
En bonne salope, lorsqu’un maire incapable, vendu aux plus dégoûtants lobbys, et responsable de la montée en puissance des racailles sur son territoire s’indigne, c’est pour protéger ses racailles chéries. Pas pour protéger les pauvres cons d’innocents que les pompiers ramassent parfois dans une mare de sang faut pas confondre! Cela n’indigne pas beaucoup Destot et Safar qui ont d’autres priorités: subventionner par millions d’euros des associations inutiles et malfaisantes, donner par piston des postes très bien rémunérés en argent public à des gens choisis pour leur appartenance communautaire, bref dépenser un argent qui ne leur appartient pas contre ceux à qui cet argent appartient.
A la 9ème minute voici la racaille gauchiste directement responsable de la construction de cette Ville-neuve, concept « pour remettre tout en cause, repartir à neuf et essayer de créer des rapports nouveaux entre les gens » textuel. Ces gens là ont barré depuis longtemps jouir de leur retraite d’enseignant ailleurs, avec leurs livres, leurs clopes et leur piano. Les racailles ils voulaient pas apprendre le piano c’est ça qu’ils trouvaient bizarre. Seuls sont restés la bande de vieux cons que l’on voit à la fin.
Grenoble bastion gauchiste de la gauche la plus inculte crasse et vendue à l’étranger, demeure un laboratoire très performant pour constater années après années quels genre de fruits pourris donnent l’arbre de la liberté: écoles anarchiques, professeurs de plus en plus crasseux, chômage, laideur architecturale, toute-puissance des racailles d’en bas et des racailles d’en haut, énorme taux de dépression et de pathologies mentales, énorme taux de divorce, surreprésentation de faits divers sordides, marasme des classes moyennes et de la jeunesse française de souche… bref tout ce que l’on connaît déjà partout ailleurs mais en plus caricatural encore, en mieux verrouillé, en encore plus concentré, encloué, rivé, scellé sur le dos des pauvres français moyens priés de faire avec. Tout pour ceux qui coûtent, rien pour ceux qui paient.
La Villeneuve a été pensée par une équipe de sociologues il faut bien s’en rappeler toutes les fois qu’une énième catastrophe se déroule dans ce paysage de coursives interminables tout jalonné d’embrasures et de coupe-gorges plus vicelards les uns que les autres. Racailles ne pouvaient pas rêver décor plus propice, plus sûr,  plus ouaté. Bijou l’explication de l’urbaniste coresponsable de toute cette merde « des problèmes? Y en a pas plus que dans les autres quartiers!« . Bijou la réunion des vieux gauchistes dont l’un émet un soupçon de prémisse de doute sur la viabilité de son vivre-ensemble parce qu’il s’est fait taper sur la gueule par des racailles qui incendiaient sa voiture. Evènement tellement révélateur d’un phénomène tellement plus vaste : pour que les gauchistes cessent leur déni il faut qu’ils soient pris à parti directement et physiquement par ce qu’ils ont engendré. Jamais les mots, la « pensée », la réflexion et le dialogue qui leur sont si chers ne les ont fait, en 30 ans, avancer d’un seul yard, fixés qu’ils sont dans leurs certitudes, leurs privilèges, leurs petites joies de cocu, leur merde. Chez ces gens connus pour leur mépris de l’activité physique et des manières martiales le coup de poing dans la gueule a valeur de retour du refoulé.
Jamais ces lâches ne feront leur autocritique et jamais les vautours qui tiennent les leviers de la ville ne feront leur travail de protection des contribuables qui les paient. La première chose qui leur est venu à l’idée est de lancer une pétition contre la chaîne qui a diffusé ce reportage (reportage qui n’exagère en rien les problèmes de la Villeneuve, et tous les Grenoblois qui connaissent les lieux pourront confirmer) pour « demander des explications ». Messieurs Destot et Safar veulent qu’on leur explique.


 
 
Pour approfondir sur la Villeneuve, l’article de Bouteille à l’amer.

18 AVRIL 2013 - Envoyer d’autres chères pensées

Envoyer d’autres chères pensées

RÉCIT — ARTICLE ÉCRIT PAR LOUNÈS LE 18 AVRIL 2013 À 21 H 56 MIN 

L’après-bac je l’imaginais grandiose, le genre grand esprit et grandes manières, Edouard Baer et Jacques François, lampes dans les coins et plafonds à moulures. Mais cette jeunesse à Grenoble s’est passée surtout dans les taudis, le vacarme et les odeurs de merde.
« Non moi j’interviens pas ça me regarde pas c’est les business à Fred-le-crado ça… « . Cette explication avait le mérite de mettre un nom sur une figure, et quelle figure! Fred-le-crado  assis par terre sur le bitume les yeux embués dans le vague, beuglait des explications incompréhensibles à cause de l’ébriété et d’un nez bouché bulleux de morve sanglante sur un visage cabossé par les coups. Il était comme ça assis au milieu de la foule les jambes tendues, le buste droit comme un petit enfant dans son parc à jeux. Et il avait beau articuler le type debout en face ne voulait rien savoir, non vraiment l’accusation « d’avoir mal parlé à sa meuf » demeurait. Et la meuf ressemblait à Mena Suvari dans American Beauty, et le type était le parfait riche beau gosse à frais polo et tronche de Corto Maltesse, et Fred-le-crado ainsi surnommé dans le milieu des « moisis » occupait quant à lui le plus bas cran de l’échelle de la séduction. Et le riche beau gosse a déclaré « t’as pris une trampe ça c’est pour lui avoir mal parlé la première fois !»… et il a rajusté ses lunettes de soleil. « t’as repris une trampe c’était pour m’avoir mal parlé à moi ! »… et il s’est campé immobile. BAM « et ça c’est pour la route ! », énorme coup de pied rotatif sans prévenir PLOF ! fort gracieuse volte toute jambe tendue en arc-de-cercle en pleine tête de Fred-le-crado dont le buste prolonge de suite le mouvement comme un compas brusquement ouvert, allongement parfait sur le bitume tête la première. Et le « oooooooh » de la foule étonnée… Jamais suprématie du beau sur le laid, du riche sur le clochard, de la santé sur la maladie ne fut à ma connaissance plus triomphale, plus incontestable, plus totale. La rumeur de la rue ne pouvait même pas défendre Fred-le-crado coupable d’avoir « mal parlé ».
Les empoignades, les gueulantes les geysers de mousseux, les éruptions spontanées de vie vivante lorsqu’on se tordait de rire dans les allées d’immeuble à cinq heures du matin, ces moments comme des enclaves d’air pur au milieu du vide sidéral cosmique infini néantissime.
« wouhouhou »
Hipsters c’est le magasin Colette qui vous a permis d’exister et vous ne le savez même pas.
« Oué mais je crois les krétchiens y mangent dju por jkroi. Et aussi de l’Al-Kohl. Et aussi ils ont commis le pire krime contre la divinité c’est que c’est des associateurs. Aya ç’pas bon… »
Derrière la fenêtre il y avait la rue. Et dans la rue il y avait les multiples possibilités de l’inconnu qui allaient s’amenuisant avec le temps et forçaient d’autant plus à aller les affronter avant qu’il ne soit trop tard. Tous ces kilomètres de désolation grise c’était l’affreuse injonction du temps qui passe ponctué d’un gros point d’exclamation tout au bout.
Bouffer pour quoi faire? Les apports glycémiques ne font que maintenir un douloureux éveil au monde. Jeûner? Seulement un jour de jeûne et l’on ne pense plus qu’à bouffer. La voilà à peu près la « condition humaine ».
Maître Babouin de son arbre perché descend invité par les mages
Votre mission: découvrir les besoins du client. Vous constituer votre portefeuille-client. Vos atouts pour réussir: votre résilience, votre aptitude à convaincre. Ce que nous offrons: un environnement motivant, des commissions déplafonnées et des perspectives d’évolution rapide. Nous cherchons moins le prestige des diplômes que les compétences du candidat.
Parfois les vrais salauds se font réellement choper. Et très vite la presse s’en désintéresse, cesse bizarrement toute investigation.
Voici comment savoir sans se faire happer par l’information: Zapper toutes les chaînes de la télé en coupant le son pendant 5 minutes puis éteindre. Cela suffit pour être informé.
Au fur et à mesure des années l’éclairage sur les plateaux de télé s’est intensifié.
Dans l’émission de Ruquier chacun prend parti pour tel ou tel camp oubliant que le vrai salaud fouteur de merde c’est Ruquier.
Ardisson avait additionné toutes les qualités nécessaires pour réussir: demeurer extrêmement neutre mais enjoué, impossible à cerner, impersonnel, intemporel, toujours semblable. D’allure ni typée ni fade, inclassable, impossible à coincer même en cas de faute. En effet il parvenait à se justifier d’une manière à la fois posée et pugnace en usant d’arguments imparables. Seules les pires raclures de la planète savent bien faire cela: les grands avocats, les chefs des ventes « grands comptes », les grands intermédiaires.
En principe les escrocs se vantent dés qu’ils ont fini : « yeaah lui je l’ai bien enculé! « . Ils relâchent la pression, ils ont ce bref instant de détente où ils exultent, ce « trajet-retour » où ils reviennent à la base. Ils sont doubles et l’assument. Mais les très grands escrocs eux, se sont rivés le masque d’arnaqueur tellement profondément dans la chair qu’ils ne se vantent même plus, qu’ils ne débriefent même plus. Passés complètement de l’autre côté ils semblent à peine avoir encore conscience de la frontière entre vérité et mensonge. Ils sont cohérents avec eux-mêmes. 
La fille était tout juste majeure et redoublait sa terminale. Elle avait pris sans autorisation la voiture de ses riches parents partis en voyage pour « aller faire la fête » à 150 kilomètres de l’autre côté de la frontière pendant tout le weekend. Elle engloutissait des verres de vin dans un bar, puis achetait une bouteille chez un paki, cavalait à toutes les enseignes éclairées, gueulait, aguichait, remontait dans sa bagnole, conduisait un peu plus loin, hurlait un truc à sa copine par-dessus la musique tout en consultant des SMS fréquents, zappait du virtuel au réel avec un sourire halluciné  appelait un sex friend indisponible puis un autre, puis déposait ses amis dans une boîte avec pour projet de repasser les prendre à 6 heures du matin puis fonçait charger un troisième sex friend à l’autre bout de la ville pour passer la nuit chez lui car elle n’avait plus assez d’argent pour l’hôtel. Cette fois j’étais complètement largué.
Emma West
Il est extrêmement facile et lâche de s’acharner sur l’anglaise Emma West. Elle était seule contre tous et elle a parlé comme un homme, mieux qu’un homme, lionne clanique fidèle sortie d’une carte chance qui ose bien en face, porteuse rarissime d’une parole dure aux étrangers et douce à son prochain, inacceptable disparité qui a plongé le monde dans la stupéfaction, menace dix fois plus pernicieuse que le racisme d’homme : le racisme de femme jolie et pauvre. Sa colère trahissait la vraie pulsion de vie, la  vraie folie de perpétrer son clan dans le monde contre le monde malgré le monde, d’y faire vivre son gamin le seul blond de toute la rame contre toute la rame bientôt contre tout le pays ligué contre elle. C’est peut-être le fait divers étiqueté  » identitaire  » le plus important de ces trente dernières années si l’on sait bien le regarder.
En comparaison les trois quarts des meufs répandues dans ce qu’on appelle l’Occident sont des meufs de MERDE de la honte de la merde, il faut être un peu maghrébin comme moi pour le comprendre. Tous ces Blancs là à genoux devant léfemmes (sacrées) qui sont précisément la cause de tous leurs malheurs je les méprise je leur pisse dans la gueule ils ne savent pas ce que c’est qu’une femme, que ça peut être cent fois mieux que les boulets qu’ils traînent. Je n’ai jamais hésité à dire en face à une meuf de MERDE qu’elle était une meuf de merde et je préfère la solitude à la honte c’est parce que je suis beaucoup plus con que la moyenne. Nous avons été dressé comme des chiens depuis l’enfance à courber la tête devant la plus ignoble ingrate traîtresse ennemie imaginable figure féminine qui soit: la figure « plus athée que soi », « plus à gauche que soi », « plus canaille que soi », « plus indépendante que soi ». Il faudrait c’est exigé, pleurer transporté d’émotion devant « cette femme si forte si libre » barrée avec les meubles après calcul du ratio risque/magot. C’est les chansons de Julien Clerc, c’est le Mariage de Figaro, c’est toute cette merde… Mais lorsqu’on quitte la France, lorsque l’on se sort la tête du cul on se rend compte qu’il existe ailleurs d’autres missions mises dans les mains des femmes que l’hostilité, le divorce et la fuite avec la sève escroquée au bonhomme. Le grand malheur on s’en rend compte à l’étranger c’est que « nos » femmes sauf exception n’ont jamais l’instinct de vie ET l’instinct de clan mais soit l’un soit l’autre.
Si chaque grande ville de France comptait seulement un petit millier « d’enragées volontaires » de l’espèce de Emma West et de Jacqueline Woodhouse alors nos ennuis seraient résolus très rapidement. Personne, aucun cargo d’immigré, aucune pelletée de crépu d’ou qu’ils sortent, aucun décret-loi, aucun serpent racailleux cannabique, aucune loi aucune industrie aucun principe frauduleux, aucun lobby même le plus immonde ramassis la plus concentrée fourmilière de cafards richissimes déchaînés de racisme à mort anti-blanc ne peut tenir une seconde la distance contre une femme qui a décidé d’avoir ce qu’elle veut.
Une seule Emma West donne à penser sur ce que pourraient être toutes les autres femmes si elles se réveillaient. Remorque de tracteur si lourde à tirer, tronche de lendemain de fête si laborieuse à animer, qu’est-ce que tu as porté comme projet de vie, comme foi, qu’est-ce que tu as chéri en secret, qu’est-ce que tu as produit concrètement, qu’est-ce que tu as fait à part essayer de ta-mu-zer? Sale grosse putain? Quelle vision tu as de toi-même à part la matronne ou la soumise, le tri-orifice réceptacle à foutre pour plus gros taureau possible, la molle vautrée pieuvre humaine avec tentacules psychiques intégrés pour succionner la moelle « gentil garçon », pour obéir à tous les exacts parfaits clichés misogynes les plus haineux, les plus ancestraux sauvages schémas reptiliens tous inscrits en filigrane de chaque page de magazine féminin? Les gros porcs Pierre Woodman sodomisateurs ont toujours proclamé leur « amour de la femme », ils ont bien compris eux, « comment il faut parler aux femmes »! pour transformer 3000 adolescentes prolétaires slaves en putes internationales sans être inquiété. Est-ce que jamais pourrait germer chez toi une ébauche d’authentique sentiment fraternel, de protection de la vie des siens d’abord avant le maquereautage par les idées et les étrangers, ce serait déjà un bon début, et « sentinelle de l’invisible » on verra après… Il existe toute une échelle de degrés disponibles entre la « Vierge à l’enfant » et « Yzraack’s anal whores #4 Ben Kalkenstein L.A. production » mais tout démontre un tropisme vers la deuxième solution rendue beaucoup moins choquante, beaucoup plus libératrice tout compte fait (tout 20-ans-dans-les-bagnes-de-l’EN + magazines-lus + bavardages + sa-propre-opinion fait).
Bénie sois-tu Emma West, madone à l’enfant, vivante insulte dans leurs faces, l’honneur retrouvé des authentiques opprimés, l’audace des tièdes la force des faibles briseuse de chaînes. Nombreux en secret t’admirent te révèrent te vénèrent pour cette simple toute petite diatribe inédite montée en épingle jusqu’aux tribunaux. J’espère qu’ils étaient aussi nombreux pour t’y applaudir. Pendant que la société de prostitution légale LA Direct Models propulsait sa chair humaine sur le devant de la scène et qu’Hollywood façonnait la Golem Naomi Watts pour les savants rôles de putain que l’on sait, pendant que tout ces infrasons grandissant en bruits du monde ravitaillés par millions de dollars retentissaient sur les cinq continents il y avait une petite souchienne de Whitechapel qui pour de vrai, gratuitement, sincèrement, individuellement, avait rétabli l’authentique  »stand up speak up« . Puisse la France se couvrir de converties Emma West toujours plus insolentes, plus étonnantes, plus loyales, plus à craindre. Il n’y a pas de menace plus terrible à leur monde qu’une jolie femme raciste pauvre. Milliers de fleurs devant vos portes.
So raise your hand and learn to love your land for the white revolution needs your uncorrupted hand. Le pays, la race, la tradition ce sont les vraies épreuves divines sur terre pour pour éprouver le « Gardien de son frère », pour prouver que l’on aime son prochain, son comme-soi, que Charité n’est pas une parole en l’air. Les vicieux disent que le pays est une idole, ils font semblant de ne pas comprendre.
On sait très bien ce qu’il faut faire pour stopper l’immigration: couper les robinets à subvention de l’Etat providence car ils agissent comme des pompes aspirantes.
Il faudrait pouvoir une seule fois se dépêtrer tout entier du grand mensonge juste pour le survoler un instant et le décrire tel quel, le gueuler bien fort en une seule phrase de 300 pages et alors on aurait accompli son devoir pour toute la vie.
« Exciting job opportunities« . On peut résumer tout travail dans un bureau à cette sentence: « Etre assis face à un ordinateur dans une salle fermée éclairée au néon ».
Signifiant
Signifié
Occuper une salle fermée
Coupure avec le « cosmos » (air, saisons, météo, nature, jour et nuit…)
Eclairage permanent au néon
Maintenir artificiellement un jour très mal imité
Assis
Seule la tête travaille, le corps est inutile
Face à un ordinateur
Attention continuellement et uniquement et totalement happée par ce qui se passe à l’intérieur du cadre de l’écran
Sollicitations de tiers
Brise la continuité d’un raisonnement
Tâches données de façon impromptues
Retire toute cohérence à la journée de travail
 
En fait les emplois de bureau constituent la seule survivance du fascisme tel qu’on se le figure.
MC Jean Gabin et le groupe Orties illustrent respectivement la vraie subversion et la fausse.
Dans une guerre les meilleurs hommes du pays se font tuer et à la fin il ne reste de vivant plus que les femmes et les malins planqués. Ces derniers font alors venir des immigrés pour remplacer les morts. C’est toute l’histoire de la France depuis 1789: mourir trompé par des malins planqués et c’est pourquoi il faut ne jamais jamais aller à la guerre.
Les vieilles matrones de paroisse sont l’impression en creux des jeunes salopes de ville.
« mais lorsque nous sommes avec des amis-euh tu ne me valorises pas asseeeez… »
Depuis que j’ai « découvert » des choses assez dérangeantes il y a 2 ou 3 ans je n’arrive plus à penser pareil qu’avant sur certains sujets à risque. C’est quelque chose de très embêtant que de ne plus parvenir à nier que nous vivons effectivement sous une tyrannie ***** et *************. C’est un cliché qui court depuis des siècles. C’est parce que cela fait des siècles que ce cliché est vrai.
Les populations préfèrent le bobard ***** car il apporte de la tranquillité, et la tranquillité est un bien très précieux.
Chrétiens ces gens à qui vous faites les yeux de l’amour ont à peu près autant envie de se convertir à la Vraie Religion qu’une jolie jeune bourgeoise de se marier avec un ouvrier vous voyez? Ils n’y ont aucun INTERET.
C’est un péché contre Jésus que de leur faire du gringue et un péché contre Dieu que de les craindre.
Le joug que les psaumes vous appellent à secouer c’est le joug de leur tyrannie.
Personnellement je n’en reviens toujours pas.
Quand on sait cela il vaut mieux faire semblant de ne pas comprendre ou fuir dans le bavardage d’ordre général en argumentant de manière désincarnée. Comme si l’immense mensonge n’était pas très incontestablement incarné justement, visible, factuel. En face d’une prise d’otage se mettre à pérorer sur « le concept du libre-arbitre de l’otage » tout en levant les mains c’est avouer son incompétence. Que l’on réponde sur les faits seulement, tout le reste n’est que vanité, vautrage dans l’abstrait, bavardage qui entretient le bavardage.
Les faits concrets les voici. Surreprésentation extraordinaire des gens de ce sérail dans les domaines suivants: production et diffusion de la pornographie, origine des armateurs de bateaux d’esclave, trafic de drogue, plagiats de livres et d’idées, incitations à la haine de la France, incitations à la haine de la race blanche, incitations à la haine de l’Eglise, conceptualisation et diffusion du gender, mariage gay, dead white males, suppression/modification du nom de famille, élévation des taxes sur héritage, diffusions d’image pour grand public qui représente le métissage systématique d’un Noir et d’une Caucasienne, entretien de mensonges et d’exagérations sur un martyrologe passé pour culpabiliser d’avance les gens qu’ils persécutent, appauvrissement des Français qui les accueillent par intrigues fiscales à l’intérieur de l’Etat, truquage des informations participatives dans Wikipédia, financement colossal des campagnes d’Obama et écrasante majorité de vote communautaire en sa faveur aux deux élections, triche et cooptation communautaire pour squatter les jobs importants et valorisants, origine de la législation sur le divorce et surreprésentation dans les avocats spécialisés dans les divorces, lobbyisme pour les manipulations génétiques type GPA, mise en place de structures pour favoriser l’immigration et l’impunité de la délinquance.
C’est une toute petite partie des faits visibles. Répondre sur les faits seuls ou se taire.
Comment savoir si un artiste est un vrai artiste et non un escroc? En le mettant à l’épreuve de la poésie et du lyrisme. S’il n’est pas capable d’en produire c’est qu’il est un escroc.
Il y a chez les vieux hommes bien habillés l’accomplissement de la promesse selon laquelle on se bonifierait en vieillissant. Or l’écrasante majorité de vieux qui s’exhibent hirsutes, déboutonnés et affublés de k-ways multicolores témoignent du contraire.
Il n’y a plus de vrais vieux. Il y a 20 ans les vieux étaient les derniers tenants d’une tradition millénaire. Aujourd’hui les vieux sont les derniers tenants des commencements de la subversion.
Les plus belles pages sur l’enfance et la mission de l’école figurent dans un livre intitulé « Les beaux draps ».
Élève puis étudiant puis employé de bureau, conducteur de voiture et mangeur de soupe en sachet, homme du 21ème siècle à quoi t’ont servies tes larges épaules?
Les réponses des prélats sont souvent hors-sujet. Ce n’est pas d’avoir été chassé du paradis le problème mais d’avoir été chassé de la possibilité du paradis.
Chienchien à sa mère, chienchien à sa meuf, chienchien à son salaire. Force canalisée dans un entonnoir, passée au tamis, filtrée, assaisonnée  mise à rassir, mise à tiédir, serrée de ficelles de contention, servie nature.
Dire merde à son père c’est facile. C’est dire merde à sa mère que très peu de gens savent faire.
Ensevelis sous des montagnes de textes depuis l’enfance, forcés à s’asseoir  à écouter, à noter. Dés le CP on vous force dans l’abstrait incapacitant inextricable.
« Ce qu’elles veulent ». Puisqu’elles portent la vie alors la somme des êtres vivants est nécessairement l’image de la somme de ce qu’elles veulent.
Les métis sont les agents dormants d’un chaos télécommandable à distance, qui se repaissent disséminés dans l’harmonie.
Les champignons poussent sur les souches rases.
La sélection naturelle n’est jamais gratuite. Les mères qui ont enfanté des métis n’ont pris aucun risque face à la société au contraire: dans un monde entièrement asservi à l’antiracisme elles savaient que l’enfant grandirait porté par tous les favoritismes.
Il n’y a pas mieux barré dans la vie qu’un métis et un fils de riche. D’ailleurs les métis sont les fils de riche des crevards.
La conscience de ton intérêt fait surface en un éclair dans certaines situations qui engagent la survie: les bagarres et l’accouplement.
Ce sont surtout des desouche qui se suicident, partent en HP, ne quittent plus leur lit.
Plus les Blancs se raréfient et plus la vie devient difficile d’abord aux Blancs qui restent, puis aux autres groupes qui réalisent trop tard que leur confort provenaient des Blancs.
Dans un monde où l’immoralisme et la transgression sont la norme, seul le racisme a vu son niveau d’interdiction augmenter.
Le rythme intérieur d’un adolescent ne peut pas survivre aux centaines d’injonctions extérieures par minute qui émanent d’une grande ville et qui brusquent, salopent et barbouillent les balbutiements de son être profond.
L’adolescence et surtout l’âge étudiant sont l’époque de la plus grande vulnérabilité et par conséquent de la plus grande soumission aux codes et aux modèles les plus tyranniques.
La vraie tyrannie ne provient pas d’une autorité verticale mais d’une injonction horizontale, d’un contrôle émanant de tes alter-ego et non de tes supérieurs.
Toutes les grandes entreprises coercisent les employés en leur suggérant un intérêt à contrôler le collègue, jamais en faisant régner une terreur visible directe.
Il faut toute la bêtise et la prétention d’un diplômé d’ESC de gauche pour que le contrôle horizontal puisse régner sans susciter de récrimination efficace.
L’ambiance détendue, le tutoiement du manager, et le « casual friday » sont non seulement des attrape-nigaud mais des concessions que personne n’a sollicité et qui n’améliorent en rien la réussite professionnelle concrète.
Les « company’s values » dont tu as tant chanté les louanges sont précisément celles qui t’ont perdues.
Le manager employait des « grandes gueules self-confident » pour forcer les ventes? Il a fini débordé par ses employés pleins d’aplomb pour ouvrir leurs grandes gueules retournées contre lui.
En fait tous ces gens sont restés des enfants rivés aux rails de l’école. Ils n’ont jamais rien pensé par eux-même, ont toujours eu la peur du surveillant, ne se sont jamais vraiment rebellés. La vraie rébellion s’attaque au vrai pouvoir. Le monde blanc chrétien de droite n’a aucun pouvoir car il n’impose aucun interdit répréhensible. S’attaquer au vrai pouvoir nécessite de dire des choses interdites.
La sociologie du parc des princes. Ce lieu a imité en miniature la société française depuis 30 ans jusqu’à en donner aujourd’hui une représentation très fidèle: des petits blancs du virage Boulogne haïs par des black-blanc-beur du virage d’en face sous le regard oblique narquois de riches gros porcs assis dans la tribune, occupés à encourager des joueurs de plus en plus étrangers et friqués qui les méprisent.
Ses billes bleues, et sa frange et ses hautes joues c’était un peu de clarté et de lumière dans un désert maronnasse, un défi au pourrissement mondial. Mignonne tronche… Comme la vie pulsait fort, comme j’avais bien fait de venir. La lumière rasante, l’air, les kilomètres-cubes de lumière douce, cette splendeur vaste toute muette. Comme la vie semblait une maîtresse bienveillante tout d’un coup, prometteuse de mille autres moments comme celui-ci qu’il suffirait de saisir rien qu’en se levant.